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PROTECTION DE L'ENFANCE

Parmi les personnes les plus fragiles risquant de basculer dans la pauvreté figurent les jeunes majeurs sortants de dispositifs de prise en charge tels que l’aide sociale à l’enfance (ASE). Pour les aider à passer ce cap, les professionnels et leurs structures ont exprimé le besoin d’être guidés afin d’évaluer avec le jeune ses capacités et ses besoins d’accompagnement à l’autonomie. Pour se faire, un guide pratique spécifique à l’Île-de-France, écrit avec les personnes concernées, est librement mis à disposition de tous les professionnels du secteur.

 MEDICO-SOCIAL

 Besoin de répit : 17 fiches repères pour les aidants

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En-tête 2

MIGRATIONS ET SOCIETES

 Cours au Collège de France

Migrations et sociétés - François Héran (2018)

Migrations et sociétés - François Héran (2018)

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 MANAGEMENT

 Vous avez dit stress?

Le droit à la déconnexion

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Instauré en 2017, le droit à la déconnexion prévoit qu’en dehors de ses heures de travail, tout salarié n’est pas tenu d’être en permanence joignable par son employeur pour des motifs liés à l’exécution de son travail. Mais le télétravail généralisé du fait de la crise sanitaire a gommé les frontières entre ces temps de vie, impactant le concept de ce droit. Faudrait-il le réinventer ? L’éclairage croisé de Pascal Grémiaux, président-fondateur d’Eurécia, entreprise spécialisée dans les RH, et de Lydie Recorbet, chargée de mission à l’Observatoire de la RSE (Orse).

La crise sanitaire, qui a concouru au développement du travail hybride, a-t-elle impacté le droit à la déconnexion ?

Lydie Recorbet : Avec des modes d’organisation de plus en plus hybrides, le droit à la déconnexion a fait l’objet d’une attention particulière de la part des entreprises, notamment celles qui sont membres de l’Orse. Mais ce droit prenait déjà de plus en plus de place dans les pratiques de celles qui étaient les plus avancées en matière de télétravail, bien avant son inscription dans le code du Travail en 2017. La loi El Khomri venant surtout rappeler son importance aux entreprises plus petites, ou moins matures côté travail à distance.

Mais la crise sanitaire et le développement du travail hybride, qui ont impacté la santé des salariés à domicile, ont renforcé l’importance, aux yeux des RH, de se soucier de l’équilibre des charges de travail. Et de s’assurer que les risques psychosociaux liés au télétravail restent maîtrisés, quand la perception des signaux faibles se révèle complexe à distance.

 

Pascal Grémiaux : Il y a 30 ans, ou même il y a 10 ans, c’était beaucoup plus facile : il y avait une place pour le travail, une autre pour la vie personnelle, et les deux étaient dissociées. Aujourd’hui, tout va plus vite. De plus en plus, les collaborateurs sont confrontés à la tentation de consulter leurs e-mails le soir ou le week-end. La vocation du droit à la déconnexion était d’assurer le respect des temps de repos et de congés, de garantir l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, et ainsi de protéger la santé des salariés. Mais la crise a changé la donne en accélérant l’usage du télétravail.

La place du bureau a changé. Jusque-là, on voulait essayer de construire un mur, une barrière entre la vie personnelle et la vie professionnelle, mais dès lors que l’on fait glisser le bureau à la maison, on gomme ces frontières. Il y a aujourd’hui un paradoxe entre la volonté de préserver le droit à la déconnexion des collaborateurs, et l’attente de ces derniers de travailler de chez eux, avec davantage de souplesse dans l’organisation de leur temps de travail. Un nouvel équilibre reste à construire. D’une certaine manière, le droit à la déconnexion devient central. Les entreprises ne peuvent pas l’ignorer, car il en va de la QVT et de la santé de leurs salariés. Le télétravail rendant la déconnexion encore plus difficile pour les salariés, et exposant nombre d’entre eux au risque de burn-out. Ce qui se répercute ensuite sur les performances de l’entreprise.

 

A l’heure de la mise en place d’une organisation hybride, faudrait-il réinventer le droit à la déconnexion ?

PG : La pandémie met le doigt sur le fait qu’il faut arrêter d’opposer les notions pro et perso dans le quotidien ; car l’on voit bien qu’elles sont en train d’être gommées. Je ne remets pas en cause le droit à la déconnexion : au contraire, je pense qu’il faut aller plus loin. Sans forcément passer par une nouvelle loi. Ni imposer des pauses obligatoires. C’est aux entreprises d’aller plus loin, car la société bouge plus vite que les lois. Elles ont intérêt à s’approprier ce sujet, en mobilisant en premier lieu les RH, le management et la communication.

On glisse de plus en plus vers un management par objectif, de confiance, de responsabilisation, où les collaborateurs sont plus autonomes. Et puisqu’ils le sont davantage, il n’est pas possible de les contraindre à la déconnexion. Il faut, à la place, les accompagner. Les sensibiliser aux risques de charge mentale, de burn-out, et à la nécessité de prévoir / planifier des temps “déconnectés”. Au niveau organisationnel, l’entreprise peut apporter de la flexibilité à ses collaborateurs. Mais avant tout, elle doit les accompagner et aller dans le sens d’une plus grande responsabilisation ; afin que chacun fasse, soi-même, attention au surmenage.

 

 

LR : Avant d’envisager de réviser le droit à la déconnexion, tout se joue dans les pratiques des entreprises. Celles-ci doivent définir ce droit, mais surtout le mettre en œuvre, et le faire respecter. C’est notamment la question de l’exemplarité des managers qui est importante dans cette optique.
Donner un ensemble de règles dans le cadre du travail hybride, connu et compris par tous, est primordial. Il faut communiquer sur ces règles, tout en sensibilisant l’ensemble des collaborateurs. Mais ce qui est tout aussi important, c’est le travail à mener auprès des managers, qui sont les premiers garants de ce droit à la déconnexion.

Extrait d'article que vous pourrez retrouver sur le site courriercadres.com publié le 11 janvier 2022 par Thomas Porez

  Incertitude et management

 HANDICAP- INCLUSION- HANDICAP PSYCHIQUE
 

Un mètre vingt, la nouvelle série Arte dont APF est partenaire
https://bit.ly/3oq9CGD

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Dans le cadre de la recherche « Enfants à besoin particulier, Processus Inclusif et Liens aux pairs » (EPIL), publiée ce lundi 17 janvier 2022, la Fondation internationale de recherche appliquée sur le handicap (Firah) a mis en ligne quatre livrets pratiques destinés aux acteurs de terrain afin de les accompagner à aider les enfants en situation de handicap à tisser des relations avec leurs pairs.

https://buff.ly/3rpc1BY

 Le handicap invisible

"Le handicap invisible est un handicap non détectable si la personne concernée n'en parle pas. Les troubles dont elle souffre impactent pourtant sa qualité de vie. 

La reconnaissance est la difficulté majeure rencontrées par ces personnes en situation de handicap. L’absence de manifestations physiques visibles comme par exemple un fauteuil, engendre bien moins de sympathie à leur égard.
Cette non reconnaissance de son handicap par son entourage peut affecter sa santé mentale : l'incompréhension et le manque d'indulgence des personnes qui les entoure peut causer une grande détresse psychologique chez les personnes atteintes d'un handicap invisible. 
Sur les 12 millions de personnes en situation de handicap, plus de 9 millions de personnes ont un handicap invisible et le handicap psychique en fait parti.  

Il est donc important d'engager le dialogue sur ce sujet." Clubhouse France 

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 PROFESSIONNELS PETITE ENFANCE - PARENTALITE
 

Un guide librement téléchargeable a été mis en ligne récemment par l’Ufnafaam.  

Il se présente comme un outil d’aide au positionnement des assistantes maternelles et des professionnels de la petite enfance face aux parents, dans l’accompagnement des pratiques éducatives.Guide, accompagnement à la parentalité,  illustré et d’une quinzaine de pages, met en scène des situations que vivent les familles et les assistantes maternelles dans le quotidien de l’accueil : l’allaitement maternel et la période de familiarisation, le sommeil, la motricité et les acquisitions, la morsure, l’étape sans couche, les écrans…. Mais aussi des thématiques plus pointues : l’enfant en situation de handicap ou la période de différenciation en situation de monoparentalité.

Il comprend aussi des pistes en matière de communication positive, ainsi qu’une bibliographie et un carnet d’adresses vierge pour noter les coordonnées d’organismes de soutien utiles sur le territoire (PMI, RPE, association d’accompagnement à l’allaitement, LAEP, EJE, psychologue, groupe de parole de parents, etc.).

 EDUCATION NATIONALE

 Violences sexuelles intrafamiliales

 PSYCHIATRIE -  PSYCHOLOGIE  -  PSYCHANALYSE

Quel  dialogue entre la psychiatrie, la psychologie et la psychanalyse ?

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